Elie CALLABE, orthodontiste de métier et conférencier au CISCO ainsi que Jean-Charles Morin orthésiste de métier, ont présenté le PUL en 2001 après 4 années de validation cliniques et techniques.
Depuis, le PUL a été amélioré et il est devenu un outil très important dès le démarrage d’un traitement de malocclusions orthodontiques.
Voici les principaux motifs de consultation qui sont répertoriés en orthodontie :
- dents du haut qui avancent beaucoup, familièrement appelées dents de lapin, ou qui poussent anarchiquement et se fractureront si on n’intervient pas,
- mâchoire du haut ou du bas trop étroite avec sa conséquence : des dents qui se chevauchent,
- dents qui sortent mal ou mal placées ou trop espacées ou encore manque de dents.
On estime que 600 000 enfants sont traités annuellement en France. « C’est en général le dentiste à l’occasion d’un examen buccodentaire, qui envoie ses patients, jeunes, ados ou adultes chez l’orthodontiste, spécialiste », comme l’explique le docteur Claude Bourdillat, Présidente du Syndicat des spécialistes francais en orthopédie dentofaciale – la définition exacte de la profession – et membre de la Fédération Francaise d’orthodontie qui regroupe toutes les sociétés de cette discipline.
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